Tous les mêmes, tous ...

Les gouvernements ont supprimé la SFP avec ses plateaux des buttes chaumont, ils ont détruit des compétences associées aux spécificités du et des spectacles, ils ont précarisés les salariés pour les convertir en intermittents, qui n' ont jamais le moindre préavis de cessation d'emploi, aucune indminités de licenciement puisque techniquement ça n'existe pas. On parle de rupture de contrat ou simplement de non reconduction du contrat qui est par principe journalier.

Aucun privilège puisqu'il n' y a pas de 1% patronal, pas de ticket resto, pas de mutuel payé par moitié par l'entreprise, une accession au crédit bien plus difficile qu'un simple postier, une difficulté et pas des moindres pour louer un appartement puisqu' un artiste, "CA PAYE PAS SON LOYER".

Tous le monde veut d'une culture gratuite donc subventionnée, mais la plupart des spectacles qui le sont ont obtenu un agrément par dossier ce qui n' engage pas la qualité d'un spectacle mais en assure la survie. 

En principe un mauvais spectacle ne dure pas longtemps, sans parler de ces exceptions culturelles que représentent les ballets ou autres manifestations alimentées de manière traditionnelle par nos politiques humaines en place. 

Un état des lieux s'imposent. Spectacle où pas, il n' y a pas assez de travail en France pour tous, ni le medef n'en trouve par ses exigences soumisent au gouvernement, ni ce même gouvernement puisqu' il est la aujourd'hui, ne trouve le moyen de créer des emplois dans quelques domaines que ce soit.

Commençons par réduire le cout de nos monarches, de supprimer la retraite des députés qui est simplement scandaleuse, car ils sont précaires eux aussi, mais pour eux pas de carences, pas d'heures à effectuer sous cotas. 

Stopper l'ascension des hauts salaires qui à un moment n' ont plus aucun sens. ils partiront direz vous ? Qu' ils partent ça ne fera que démontrer leur avilissante passion pour l'argent au résultat de leur seul et unique profit. 

Mais les intermittents sont la réponse du moment au maintiens au calme des nouveaux licenciés, et ils sont de plus en plus nombreux. Avouer vos limites vous, les élus, admettez votre manque de compétences dans des domaines qui ne vous appartiennent pas, adressez vous au gens qui font, qui servent le spectacle, les vrais, ceux qui mouillent leur chemise, ceux qui se mettent à poil pour réaliser un idéal, pour aller au dela de ces petits mots qui disent souvent... " j' aurais voulu faire ceci ou cela, mais ...) respectons ceux qui le font. 

QUI ? quand ? pourrons nous nous en passer ?

Votre serviteur (de retour)